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Santé
3 min de lecture

Combien de temps peut-on rester en maison de convalescence ?

Découvrez la durée moyenne d’un séjour en maison de convalescence, les facteurs qui influencent cette durée et comment préparer votre retour à domicile

Louise

Posté le
8/5/2025
Mis à jour le
8/5/2025
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Après une chirurgie ou une hospitalisation prolongée, la récupération peut parfois nécessiter un accompagnement médicalisé avant de pouvoir reprendre une vie quotidienne autonome. C’est dans ce contexte qu’on fait appel aux maisons de convalescence, également appelées centres de soins de suite et de réadaptation (SSR). Ces établissements offrent des soins spécialisés pour permettre aux patients de récupérer dans un environnement sécurisé, avec un suivi médical adapté.

La durée d'un séjour en maison de convalescence dépend de nombreux facteurs, tels que la nature de l'intervention, l'état de santé du patient, et son rythme de rééducation. Il est donc légitime de se poser la question de la durée optimale de ce séjour, et d'en comprendre les critères de détermination. Comprendre ces éléments permet non seulement d’anticiper les besoins de soins après une hospitalisation, mais aussi d’explorer les alternatives, comme le retour à domicile.

Qu’est-ce qu’une maison de convalescence et à quoi sert-elle ? 

Une maison de convalescence, également connue sous le nom de centre de soins de suite et de réadaptation (SSR), est un établissement médicalisé où les patients peuvent poursuivre leur rééducation après une hospitalisation. 

Définition et rôle de la maison de convalescence 

Une maison de convalescence accueille des patients qui ne peuvent pas encore retourner directement chez eux après une hospitalisation, mais qui n'ont plus besoin d'une hospitalisation complète. Le rôle de ces établissements est de :

  • Assurer la continuité des soins : Après une chirurgie, comme une fracture de la hanche, une intervention cardiaque ou une prothèse, le patient a besoin de soins médicaux réguliers pour suivre l'évolution de son état. Les maisons de convalescence garantissent une surveillance médicale constante par des médecins, infirmiers et kinésithérapeutes.

  • Accompagner la rééducation : L’un des rôles principaux est d’accompagner le patient dans sa rééducation post-opératoire. Cela inclut la rééducation fonctionnelle pour récupérer la mobilité, la force musculaire et l’autonomie nécessaire pour reprendre une vie quotidienne sans assistance.

  • Favoriser le retour à l’autonomie : En plus des soins médicaux et physiques, ces établissements visent à préparer les patients à un retour à domicile en leur offrant un environnement adapté et sécurisé, ce qui est particulièrement essentiel pour les personnes âgées ou fragiles.

Quels types de soins y sont proposés ? 

Les soins proposés dans une maison de convalescence varient en fonction des besoins du patient, mais en général, ces établissements offrent de services médicaux et paramédicaux plutôt variés :

  • Soins médicaux réguliers : Surveillance des signes vitaux, gestion de la douleur, et traitement des infections ou des complications post-opératoires. Les patients sont souvent suivis par des médecins généralistes ou des spécialistes en fonction de la pathologie traitée.

  • Rééducation physique : La rééducation est l’une des composantes essentielles du séjour en maison de convalescence. Des kinésithérapeutes travaillent avec les patients pour récupérer la mobilité, renforcer les muscles et améliorer l’équilibre. Cela peut inclure des exercices de marche, de renforcement musculaire, et des techniques de rééducation fonctionnelle.

  • Soins infirmiers : Les soins infirmiers comprennent les pansements, l’administration de médicaments, le suivi des plaies, et le contrôle des signes vitaux. Les infirmiers peuvent également dispenser des soins à domicile en cas de besoin.

  • Soutien psychologique : Certains patients, notamment les personnes âgées, peuvent éprouver des difficultés émotionnelles pendant la convalescence. Les maisons de convalescence offrent souvent un soutien psychologique pour les aider à faire face au stress, à l’anxiété ou à la dépression, parfois liée à une longue période d’immobilisation ou à la perte d’autonomie temporaire.

  • Aides à la vie quotidienne : Dans certaines structures, des aides-soignants peuvent aider les patients dans les tâches quotidiennes telles que la toilette, l’habillage, ou les déplacements.

Coûts et prise en charge financière du séjour en maison de convalescence 

Le coût d’un séjour en maison de convalescence dépend de plusieurs facteurs, notamment la durée du séjour, le type de soins nécessaires, et le type d’établissement. En moyenne, le coût journalier pour un séjour en SSR se situe entre 70 et 150 euros par jour, selon les soins prodigués et la localisation de l’établissement.

Cependant, il existe des aides financières pour couvrir une partie de ces frais :

  • Assurance maladie : L'Assurance Maladie prend en charge une partie des frais, notamment pour les soins médicaux et la rééducation, dans le cadre du parcours de soins du patient.

  • Complémentaire santé : Certaines assurances santé couvrent les frais supplémentaires non pris en charge par l'Assurance Maladie, comme le forfait hospitalier.

  • Aide sociale : Pour les personnes âgées en situation de précarité, il est possible de demander une aide auprès des Conseils Départementaux ou de bénéficier d’une Aide Personnalisée au Logement pour réduire les coûts.

Combien de temps dure un séjour moyen en maison de convalescence ? 

La durée d’un séjour en maison de convalescence varie en fonction de la nature de l’intervention chirurgicale,de  l'état de santé du patient et de son évolution post-opératoire.

Durée moyenne habituelle 

En général, la durée d’un séjour en maison de convalescence se situe entre 10 et 30 jours. Cela peut varier en fonction de la rapidité de la rééducation et de la stabilité du patient après l’opération. Pour les patients en bonne santé générale et ayant subi une chirurgie non compliquée, un séjour d’une quinzaine de jours est souvent suffisant pour récupérer suffisamment et commencer à se préparer au retour à domicile.

La durée moyenne des séjours dans les maisons de convalescence est d’environ 20 à 25 jours pour une rééducation standard. Cela inclut le temps nécessaire pour la gestion de la douleur, la rééducation fonctionnelle, et l’accompagnement médical. À noter qu'une fois ce délai écoulé, le patient peut être transféré vers un autre établissement, comme un centre de rééducation fonctionnelle, si une rééducation plus intensive est requise.

Durées spécifiques selon les différentes pathologies 

La durée de séjour peut varier de manière significative en fonction du type de pathologie ou de chirurgie subie. Par exemple :

  • Chirurgie orthopédique (prothèse de hanche, genou, fracture) : Les interventions chirurgicales comme la pose de prothèses de hanche ou de genou nécessitent souvent un séjour plus long, généralement compris entre 15 et 30 jours, pour permettre au patient de suivre un programme de rééducation post-opératoire, de retrouver une mobilité suffisante et de réduire le risque de complications. En cas de fracture complexe, la durée peut être prolongée pour permettre une surveillance plus étroite.

  • Accident vasculaire cérébral (AVC) : Les patients ayant subi un AVC nécessitent un suivi plus long en maison de convalescence, généralement entre 20 et 40 jours. Ce séjour permet de stabiliser l’état de santé, de mettre en place un programme de rééducation cognitive et physique, et d’adapter les soins à la situation spécifique du patient (difficultés motrices, troubles de la parole, etc.).

  • Chirurgie cardiaque : Pour les patients ayant subi une chirurgie cardiaque, comme un pontage coronarien ou une remise en état des valves cardiaques, la durée moyenne d'hospitalisation en maison de convalescence est d’environ 10 à 20 jours, en fonction de la récupération du patient. Les soins postopératoires visent à stabiliser la condition cardiaque et à débuter une rééducation physique légère pour éviter les complications.

  • Autres pathologies : Les patients ayant subi une chirurgie abdominale ou une chirurgie générale peuvent nécessiter une convalescence plus courte, autour de 10 à 20 jours, mais des complications éventuelles comme des infections ou des douleurs persistantes peuvent allonger la durée du séjour.

Durée maximale du séjour en maison de convalescence : ce qu’il faut savoir 

Il n’existe pas de durée maximale standard pour un séjour en maison de convalescence, car cela dépend des besoins individuels du patient et de l’évaluation médicale. Cependant, en règle générale, la durée est déterminée par l’évolution de la récupération et la capacité de réadaptation. 

Bien qu'il n'y ait pas de limite stricte, les établissements SSR préconisent une durée qui ne dépasse généralement pas 3 mois. Au-delà de cette période, une évaluation complète de la situation du patient est effectuée, et il peut être orienté vers un établissement de rééducation fonctionnelle ou un suivi à domicile.

Dans certains cas, les assurances santé ou les caisses de sécurité sociale peuvent limiter la prise en charge de l’hospitalisation prolongée. Il est donc conseillé de vérifier les modalités de couverture des frais de séjour dans ces situations.

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Quels critères influencent la durée du séjour en maison de convalescence ? 

La durée du séjour en maison de convalescence dépend de plusieurs facteurs qui varient selon chaque patient et chaque situation. Ces critères sont déterminés par les médecins et les équipes de rééducation en fonction des besoins spécifiques du patient et de sa capacité à récupérer.

Type d’opération ou de pathologie 

Le type de chirurgie ou de pathologie traitée influence la durée du séjour en maison de convalescence. Plus l’intervention est complexe, plus la rééducation sera longue :

  • Chirurgie orthopédique (pose de prothèse de hanche ou genou) : nécessite généralement un séjour prolongé en raison de la rééducation nécessaire à la récupération de la mobilité.

  • Accident vasculaire cérébral (AVC) : les patients nécessitent souvent un séjour de 30 à 45 jours, ou plus, pour la rééducation physique et cognitive.

  • Chirurgie cardiaque : la rééducation cardiaque peut allonger la durée du séjour, en raison de la surveillance et de la reprise progressive de la fonction pulmonaire.

  • Autres pathologies : pour des interventions moins invasives (chirurgie abdominale, par exemple), la durée peut être plus courte, tandis que les pathologies graves peuvent nécessiter plusieurs semaines de rééducation.

État général de santé du patient 

L'état général de santé du patient avant et après l’intervention joue un rôle déterminant dans la durée du séjour en maison de convalescence. Les personnes âgées ou celles ayant des comorbidités (diabète, hypertension, maladies cardiaques, etc.) peuvent avoir une récupération plus lente et nécessiter un suivi médical plus intensif :

  • Personnes âgées : Les patients âgés, particulièrement ceux de plus de 75 ans, peuvent avoir une récupération plus lente en raison de la fragilité des os, de la diminution de la masse musculaire, et d’autres facteurs liés au vieillissement. Leur durée de séjour peut être prolongée pour compenser la diminution des capacités physiques et leur besoin accru de soins médicaux.

  • Personnes avec comorbidités : Les patients ayant des maladies chroniques, comme le diabète ou des problèmes cardiaques, peuvent nécessiter des soins supplémentaires pour gérer ces conditions parallèlement à leur rééducation. Cela peut entraîner une hospitalisation plus longue, surtout si des complications surviennent.

  • Capacité de récupération : Certaines personnes récupèrent plus rapidement que d'autres. La présence d’une bonne forme physique, d’un système immunitaire solide, et d’une motivation personnelle peut réduire la durée du séjour en maison de convalescence.

Avis médical et capacité de récupération 

Le suivi médical et les avis des professionnels de santé déterminent la durée du séjour. La décision est souvent prise en fonction de la capacité du patient à atteindre certains objectifs de rééducation, notamment en termes de mobilité, de force musculaire et d’autonomie dans les gestes quotidiens :

  • Évaluation des progrès : Les progrès réalisés pendant la rééducation influencent directement la décision de prolonger ou non le séjour. Si le patient atteint rapidement les objectifs fixés, il peut être autorisé à quitter la maison de convalescence plus tôt. Inversement, si la rééducation est lente ou si des complications surgissent, le séjour peut être prolongé.

  • Adaptation aux soins : La capacité du patient à s’adapter aux soins reçus en maison de convalescence joue également un rôle. Certaines personnes peuvent avoir besoin de plus de temps pour se réhabituer aux activités quotidiennes, et la rééducation post-chirurgicale peut prendre plus de temps selon la nature de la pathologie.

  • Consultations multidisciplinaires : L’équipe de santé (médecins, kinésithérapeutes, ergothérapeutes) fait des évaluations régulières pour ajuster le plan de rééducation. Si le patient répond bien aux soins, cela peut permettre une sortie anticipée, tandis que des retards dans la rééducation peuvent conduire à une prolongation du séjour.

Alternatives concrètes au séjour prolongé en maison de convalescence : le retour sécurisé à domicile 

Après une hospitalisation, le retour à domicile est souvent souhaité, mais il nécessite une préparation minutieuse pour garantir sécurité et confort. De plus en plus de patients et de familles privilégient cette option, soutenus par des dispositifs d'accompagnement adaptés.

Pourquoi privilégier un retour à domicile ? 

Le retour à domicile présente de nombreux avantages, tant pour le bien-être physique que psychologique du patient :

  • Maintien du lien social : Le domicile permet de conserver ses repères et de maintenir des liens sociaux avec la famille et les amis, ce qui favorise le moral et la motivation.
  • Autonomie : Retourner chez soi permet de retrouver son environnement familier et d’organiser son quotidien de manière autonome, un facteur clé pour une récupération réussie.

  • Confort psychologique : Le cadre rassurant et personnel du domicile contribue à une meilleure gestion de l’anxiété et du stress liés à la période de convalescence.

Adaptation nécessaire du logement après convalescence 

Avant de pouvoir rentrer à domicile en toute sécurité, le logement doit souvent être adapté aux besoins du patient en convalescence. Les principaux aménagements incluent :

  • Salle de bain sécurisée : Installer des barres d’appui et une douche sécurisée pour éviter les risques de chutes. Remplacer les baignoires par des douches de plain-pied est également recommandé.

  • Accessibilité : L’installation de rampes d’accès, l’élargissement des portes pour permettre le passage d’un fauteuil roulant ou d’un déambulateur, et la suppression d’obstacles dans les couloirs sont des aménagements nécessaires pour garantir la mobilité.

  • Mobilité : Des revêtements de sol antidérapants et l’installation d’un monte-escalier (si nécessaire) permettent de sécuriser les déplacements à l’intérieur du domicile.

Ces ajustements visent à réduire les risques de chutes, faciliter les déplacements et permettre au patient de se réadapter à son environnement avec un maximum d’indépendance.

Comment Logiadapt’ facilite ce retour à domicile ? 

Logiadapt’ est un service spécialisé dans l’adaptation du logement pour les personnes ayant des soucis d’autonomie et de mobilité, souvent des seniors ou des personnes en situation de handicap. L’accompagnement proposé par Logiadapt’ est complet et personnalisé :

  • Diagnostic personnalisé : Un ergothérapeute ou un professionnel se rend chez le patient pour évaluer les besoins spécifiques du logement en fonction de son état de santé et de ses capacités physiques.

  • Plan d’aménagement : Après le diagnostic, Logiadapt’ propose des solutions d’aménagement adaptées, garantissant la sécurité du patient à domicile. Ces solutions incluent les travaux nécessaires pour éliminer les obstacles et faciliter l’accès aux différentes pièces de la maison.

  • Suivi personnalisé : Une fois les travaux réalisés, Logiadapt’ effectue un suivi pour s’assurer que les aménagements répondent bien aux besoins du patient. Des ajustements peuvent être effectués si nécessaire.

Les aides financières disponibles 

Pour financer l’adaptation du logement, plusieurs aides financières sont disponibles, dont MaPrimeAdapt’, qui couvre jusqu’à 70% du coût des travaux dans la limite de 22 000 € hors taxes. Ce dispositif est destiné aux personnes âgées de plus de 70 ans ou aux personnes de 60 à 69 ans avec un niveau de perte d’autonomie (GIR 1 à 6). Les ménages aux revenus modestes ou très modestes peuvent bénéficier de cette aide.

En plus de MaPrimeAdapt’, d’autres aides comme l’Allocation Personnalisée d'Autonomie (APA) et l'Aide au Retour à Domicile après Hospitalisation (ARDH) peuvent également être sollicitées pour financer les travaux d’adaptation nécessaires à un retour sécurisé à domicile.

Questions fréquentes : 

Qui décide quand sortir de la maison de convalescence ?

La décision de sortir d’une maison de convalescence est prise par l’équipe médicale en fonction de l’évolution du patient, de sa capacité à récupérer et des objectifs de rééducation atteints.

Peut-on refuser de prolonger un séjour ?

Oui, le patient peut refuser de prolonger son séjour, mais il doit en discuter avec l’équipe médicale qui évaluera si le retour à domicile est possible en toute sécurité.

Quelles démarches pour bénéficier d’une adaptation rapide du logement avec Logiadapt’ ?

Pour bénéficier d’une adaptation rapide, il suffit de contacter Logiadapt’, qui effectuera un diagnostic personnalisé, proposera un plan d’aménagement et coordonnera les travaux nécessaires.

Résumé et points clés 

La durée d’un séjour en maison de convalescence varie selon l’état de santé du patient, le type d’intervention chirurgicale, et la rééducation nécessaire. Bien que la moyenne se situe entre 10 et 30 jours, certains patients peuvent nécessiter un séjour plus long. Il est également possible de privilégier le retour à domicile, une option qui demande des aménagements spécifiques du logement pour assurer une convalescence sûre et confortable.

Points essentiels à retenir :

  • La durée moyenne d’un séjour en maison de convalescence est de 20 à 25 jours.

  • Le type d’opération et l’état de santé du patient influencent la durée du séjour.

  • Les patients après chirurgie orthopédique, AVC ou chirurgie cardiaque peuvent nécessiter un séjour prolongé.

  • Le retour à domicile est possible après une convalescence en maison de convalescence, à condition d’adapter le logement.

  • Logiadapt’ offre un accompagnement personnalisé pour l’adaptation du logement après une hospitalisation.

  • MaPrimeAdapt’ finance jusqu’à 70% des travaux d’adaptation du logement pour les personnes âgées ou en situation de dépendance.

  • Un suivi médical et une rééducation adaptée sont essentiels pour garantir une récupération optimale.

Pour préparer votre retour à domicile en toute sécurité, contactez Logiadapt’ pour un diagnostic personnalisé et découvrez nos solutions d’aménagement. Utilisez notre simulateur d’éligibilité pour connaître les aides financières disponibles et prenez rendez-vous dès aujourd’hui pour un accompagnement complet.

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