Normes PMR : comment rendre une salle de bain accessible ?

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Certaines salles de bain représentent encore un obstacle pour les personnes en situation de handicap, les seniors ou toute personne ayant une mobilité réduite. Pourtant, il existe aujourd’hui un cadre réglementaire précis visant à garantir l’accessibilité, la sécurité et l’autonomie de tous, que ce soit dans un logement neuf, un établissement recevant du public (ERP) ou un lieu de soin. Rendre une salle de bain conforme aux normes PMR (Personnes à Mobilité Réduite) ne relève pas d’un simple confort : c’est une obligation légale et un levier fondamental d’inclusion. Mais pour être réellement accessible, une salle de bain doit respecter des dimensions minimales, des zones de circulation dégagées et intégrer des équipements adaptés 

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Qu’est-ce qu’une salle de bain PMR ? 

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Avant de se pencher sur les normes à respecter, il est essentiel de bien comprendre ce que recouvre la notion de salle de bain PMR et à qui elle s’adresse.

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Définition et objectifs 

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Une salle de bain PMR (Personnes à Mobilité Réduite) est un espace sanitaire spécifiquement conçu pour être accessible, fonctionnel et sécurisé pour toute personne ayant des limitations de mobilité. Elle permet à un utilisateur en fauteuil roulant, en déambulateur ou présentant une perte d’autonomie de réaliser ses gestes du quotidien sans assistance, en toute sécurité.

L’objectif de ces aménagements est triple :

• Garantir l’autonomie de l’usager dans les actes essentiels (toilette, hygiène, habillage)
• Prévenir les chutes et accidents, grâce à des dispositifs ergonomiques et antidérapants
• Respecter la réglementation en matière d’accessibilité dans les logements et établissements recevant du public (ERP)

Contrairement à certaines idées reçues, une salle de bain PMR ne se résume pas à une douche de plain-pied ou à une barre d’appui : c’est l’ensemble de l’espace, des circulations aux équipements, qui doit répondre à des normes précises.

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Pour qui ? 

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La salle de bain PMR concerne une grande diversité de situations :

• Personnes en situation de handicap moteur ou sensoriel, permanentes ou temporaires
• Personnes âgées anticipant une perte d’autonomie ou déjà en difficulté de déplacement
• Aidants familiaux ou professionnels accompagnant une personne dépendante,
  Enfants en situation de handicap, avec des besoins spécifiques d’accès et de sécurité

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Elle peut être aménagée dans un logement privé, un logement social, un établissement de santé, une maison de retraite, ou tout autre lieu accueillant du public (hôtel, commerce, bâtiment administratif…).

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Rendre la salle de bain accessible, c’est donc à la fois répondre à un enjeu de société, celui du vieillissement et de l’inclusion, et respecter un cadre légal strict en matière d’accessibilité.

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Textes de loi et réglementation 

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L’aménagement d’une salle de bain PMR ne repose pas seulement sur le bon sens : il est encadré par plusieurs textes de loi qui précisent les obligations selon le type de bâtiment.

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Arrêté du 20 avril 2017

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Dans les logements neufs, les règles d’accessibilité sont définies par l’arrêté du 20 avril 2017, qui impose des aménagements permettant l’usage autonome d’une salle de bain par une personne en fauteuil roulant.

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Parmi les obligations principales :

• Un cercle de giration de 1,50 m de diamètre doit être libre de tout obstacle à l’intérieur de la pièce
• Les équipements (lavabo, douche, WC) doivent permettre un accès frontal ou latéral avec des zones de manœuvre d’au moins 0,80 × 1,30 m
• Les commandes et accessoires doivent être positionnés entre 0,90 m et 1,30 m de hauteur
• Les sols doivent être plans, non glissants et sans ressaut supérieur à 2 cm, sauf si une rampe de pente ≤ 5 % est prévue

Ces exigences s’appliquent à tous les logements accessibles dès la construction, que ce soit pour un usage personnel ou dans le cadre du parc locatif social.

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Code de la construction / ERP / établissements publics 

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Pour les établissements recevant du public (ERP) et les bâtiments collectifs, les règles sont régies par le Code de la construction et de l’habitation, notamment les articles R.111-18 à R.111-18-2, ainsi que le décret n°2006-555.

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Ces textes imposent notamment :

• Des zones d’approche et de manœuvre aux normes pour fauteuil roulan
• La présence de barres d’appui, d’un lavabo accessible, et d’une douche de plain-pied dans les sanitaires accessibles
• Une signalétique claire et visible
• Une pente maximale de 5 % sans palier ou de 8 % avec palier intermédiaire pour les accès
• Une hauteur d’assise des WC comprise entre 45 et 50 cm

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Les interrupteurs, miroirs, prises doivent être positionnés à hauteur accessible, tout comme la robinetterie (mitigeur à levier ou infrarouge recommandé).

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Salle de bain PMR en logement vs ERP 

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Bien que les exigences soient proches, certaines différences doivent être notées entre un logement individuel et un ERP :

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Dimensions minimales et circulation 

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L’accessibilité d’une salle de bain PMR repose avant tout sur une circulation fluide et sans obstacle, rendue possible grâce au respect de dimensions minimales strictement encadrées.

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Rayon de giration et dégagements 

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Le cercle de giration est l’un des éléments fondamentaux de toute salle de bain PMR. Il s’agit de l’espace nécessaire pour permettre à une personne en fauteuil roulant de faire un demi-tour ou un tour complet sur elle-même.

• Ce rayon libre de tout obstacle doit être de 1,50 m de diamètre minimum, selon l’arrêté du 20 avril 2017 et le décret n°2006-555
• Aucun meuble fixe ou sanitaire ne doit empiéter sur cet espace
• Il peut être partiellement situé sous une vasque ou un plan de travail, à condition que la hauteur libre soit suffisante (≥ 70 cm)

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Ce cercle de giration doit idéalement être positionné à l’intérieur même de la salle de bain, et non à l’extérieur ou dans une pièce adjacente.

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Largeurs de passage, manœuvre, zone d’approche 

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Au-delà du cercle de giration, plusieurs autres espaces doivent être respectés pour garantir la mobilité de l’usager :

• Largeur de passage des portes : au moins 77 cm d’ouverture utile (largeur de vantail libre)
• Zone d’approche frontale ou latérale : au minimum 80 cm de largeur × 130 cm de profondeur, devant chaque équipement (lavabo, douche, WC)
• Zone de manœuvre avec possibilité de demi-tour : toujours 1,50 m de diamètre à l’intérieur de la salle d’eau
• Hauteur de passage sous un meuble ou une vasque : au minimum 70 cm de hauteur libre, 30 cm de profondeur dégagée

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Pour les douches, un ressaut est toléré uniquement s’il ne dépasse pas 2 cm (ou 4 cm avec une rampe à pente ≤ 33 %). Les sols doivent être plats, stables, non glissants, sans marches ni seuils infranchissables.

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En respectant ces dimensions, on garantit non seulement une liberté de mouvement mais aussi une utilisation autonome et confortable de tous les éléments de la salle de bain, quels que soient les besoins spécifiques de l’utilisateur.

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Équipements conformes aux normes PMR 

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Au-delà des dimensions, l’accessibilité d’une salle de bain PMR repose sur des équipements spécifiques, conçus pour être utilisés en toute autonomie par une personne à mobilité réduite.

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Douche PMR : receveur extra-plat ou à l’italienne 

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La douche PMR est l’élément central de la salle de bain PMR. Elle doit répondre à plusieurs exigences précises :

• Type de douche : à l’italienne ou avec un receveur extra-plat encastré, de plain-pied
• Dimensions minimales : 1,20 m de longueur × 0,90 m de largeur
• Ressaut maximal : 2 cm (toléré) ou 4 cm avec une rampe à pente ≤ 33 ,
• Hauteur libre : au moins 1,80 m au-dessus du receveur
• Revêtement : antidérapant obligatoire (indice PN 12 ou supérieur recommandé)
• Zone d’approche devant la douche** : 80 cm × 130 cm minimum

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Un siège de douche rabattable est requis dans les ERP et vivement conseillé dans les logements : il doit être placé à 45–50 cm du sol, stable et facile d’accès. Une barre d’appui horizontale doit être installée à une hauteur comprise entre 70 et 80 cm pour sécuriser l’entrée et la sortie de douche.

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La robinetterie (mitigeur thermostatique ou infrarouge) doit être positionnée entre 90 et 130 cm de hauteur, accessible depuis le siège.

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Vasque suspendue ou encastrée 

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Le lavabo PMR doit permettre un accès frontal en fauteuil roulant. Cela impose :

• Une vasque suspendue ou encastrée dans un plan peu épais (≤ 13 cm),
• Une hauteur de pose entre 70 et 85 cm, idéale autour de 80 cm,
• Un dégagement sous vasque de 60 cm de large × 30 cm de profondeur × 70 cm de hauteur libre,
• Une robinetterie à levier ou à commande infrarouge, accessible d’une seule main.

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Il est essentiel que la personne puisse s’approcher sans obstacle au niveau des jambes, d’où l’interdiction des meubles pleins sous vasque dans les cas conformes.

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WC accessibles 

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Les WC PMR doivent aussi être pensés pour permettre un transfert latéral sécurisé :

• Hauteur d’assise comprise entre 45 et 50 cm (cuvette + abattant),
• Espace latéral dégagé : ≥ 80 cm pour permettre le passage du fauteuil,
• Barre d’appui rabattable placée à 70–75 cm de hauteur, à 40–45 cm du centre de la cuvette,
• Zone d’approche : 80 cm × 130 cm minimum.

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Un distributeur de papier toilette et une chasse d’eau facilement accessibles doivent également être intégrés à portée de main depuis la position assise.

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Accessoires indispensables pour l’autonomie 

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Au-delà des équipements sanitaires, ce sont les accessoires ergonomiques et bien positionnés qui font toute la différence pour sécuriser et faciliter l’usage quotidien d’une salle de bain PMR.

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Barres d’appui, miroirs inclinables, sièges de douche 

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Ces éléments sont souvent obligatoires dans les ERP et fortement recommandés en logement individuel pour garantir confort et sécurité.

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Barres d’appui :

• Obligatoires près des WC, de la douche et parfois de la vasque
• Positionnées à 70–80 cm du sol, fixées solidement au mur ou sur platine renforcée
• Modèles droits, coudés ou rabattables selon la configuration de la pièce.
  
  

Miroirs inclinables :

• Permettent l’usage en position assise comme debout
• Peuvent être fixes à une hauteur de 105 cm à l’axe ou inclinables avec poignée.

Siège de douche :

• Relevable, antidérapant et à surface non froide
• Installé à 45–50 cm de hauteur, résistant à un poids minimum de 130 kg
• Nécessite un dégagement suffisant en face pour le transfert.

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Ces accessoires ne sont pas à considérer comme « secondaires » : ils permettent de préserver l’autonomie, d’éviter les chutes et de soulager les aidants.

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Robinetterie adaptée : levier, infrarouge 

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La robinetterie joue un rôle central dans l’autonomie d’utilisation. Elle doit être :

• Accessible d’une seule main, sans effort ni préhension complexe,
• Positionnée à une hauteur comprise entre 90 et 130 cm, selon les usages,
• À levier ergonomique (long manche) ou à commande infrarouge (sans contact),
• Privilégier les mitigeurs thermostatiques pour éviter tout risque de brûlure.

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Le réglage de la température doit être sécurisé, surtout dans les ERP ou logements accueillant des publics fragiles.

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Une attention particulière doit aussi être portée à la sécurité électrique : les équipements situés à proximité d’un point d’eau doivent respecter les zones d’installation définies par la norme NF C 15-100.

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Aides financières et dispositifs d’accompagnement 

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Les travaux d’aménagement d’une salle de bain PMR représentent un investissement conséquent. Heureusement, des aides publiques existent pour accompagner les particuliers et les professionnels dans cette démarche.

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MaPrimeAdapt’

Depuis le 1er janvier 2024, MaPrimeAdapt’ est la principale aide publique dédiée à l’adaptation des logements pour les personnes en situation de handicap ou en perte d’autonomie.

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Elle s’adresse à :

• Toute personne âgée de 70 ans ou plus,
• Les personnes entre 60 et 69 ans avec une perte d’autonomie (GIR 1 à 6),
• Les personnes en situation de handicap (avec un taux d’incapacité d’au moins 50 % ou bénéficiant de la PCH).

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Montants :

• Jusqu’à 50 % de prise en charge pour les revenus modestes,
• Jusqu’à 70 % pour les revenus très modestes,
  Plafond de 22 000 € HT de travaux.

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Parmi les travaux éligibles : remplacement d’une baignoire par une douche de plain-pied, installation d’un WC surélevé, pose de barres d’appui, mise en conformité de la robinetterie, adaptation des revêtements de sol.

MaPrimeAdapt’ peut être cumulée avec d’autres dispositifs comme les aides locales, la PCH ou le crédit d’impôt accessibilité.

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Logiadapt’ : un accompagnement global et certifié

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Pour bénéficier de MaPrimeAdapt’, il est indispensable d’être accompagné par un assistant à maîtrise d’ouvrage (AMO) habilité. C’est le rôle que joue Logiadapt’.

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Logiadapt’ accompagne les particuliers, bailleurs et collectivités à chaque étape :

• Diagnostic à domicile avec un expert en accessibilité
• Préconisations techniques et plan d’aménagement conforme
• Aide au montage administratif du dossier MaPrimeAdapt’
• Mise en relation avec des artisans formés aux normes PMR
• Suivi du chantier jusqu’à la réception des travaux

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Conclusion 

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Rendre une salle de bain accessible ne relève pas uniquement du confort : c’est une obligation réglementaire et un véritable enjeu d’autonomie pour des millions de personnes. Grâce aux normes PMR, il est possible d’aménager des espaces à la fois fonctionnels, sécurisés et inclusifs, que ce soit en logement privé, en ERP ou en établissement de santé.

📏 Dimensions conformes : 150 cm de giration, dégagements libres.

🚿 Équipements adaptés : douche de plain-pied, vasque suspendue, WC accessible.

💶 Aides disponibles : subventions, crédit d’impôt, accompagnement personnalisé.

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FAQ

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